La respiration pour soulager la douleur

Les neurosciences ont validé l’effet de la respiration et de la visualisation sur la douleur car dans notre cerveau il y a des zones qui favorisent la douleur et d’autres qui l’atténuent.

Une respiration qui fonctionne bien est celle en trapèze du style 4-5-6-5 (4 temps d’inspiration, 5 temps de rétention poumons pleins, 6 temps d’expiration, 5 temps de rétention poumons vides). Pourquoi ? Car en rétention poumons vides, le corps passe en mode d’urgence (naturellement il a envie d’inspirer après l’expiration) et ce mode met de côté toutes les douleurs. Donc sur le long court on arrive à calmer la douleur.

La respiration en carré est aussi efficace (5-5-5-5) avec le même principe de rétention..

Mon accompagnement

Si votre corps est douloureux je peux vous accompagner avec la sophrologie et/ou avec l’hypnose. En sophrologie, des exercices spécifiques de respiration, de méditation, de mouvements doux, de visualisation permettent de soulager un corps douloureux. L’hypnose, quant à elle, permet de transformer la douleur pour l’atténuer.

Témoignage en sophrologie

« Je suis atteint de neuropathie périphérique à prédominance axonale, qui a pour effet, entre autres, de me donner des douleurs parfois sévères dans les membres inférieurs avec souvent des irradiations abdominales.
Pour les calmer, je fais depuis 2 ans des séances de sophrologie. Ces séances ont la vertu de diminuer les douleurs parfois jusqu’à la fin de la journée, parfois un peu plus longtemps, les jours suivants. De plus, tout seul, je parviens à faire certains exercices. » T.L. 83 ans

Témoignage en hypnose

« 1ère séance d’hypnose bluffante ! Comme beaucoup de personnes, j’étais méfiante et sceptique en ce qui concerne les séances d’hypnose. Après explication de la praticienne, Mme Quéval, nous nous sommes lancées dans l’aventure ; nous, car il s’agit d’un partenariat ! La patiente choisit son cadre ressourçant, apaisant puis elle se laisse guider par la voix de Mme Quéval qui propose des pistes de travail (en ce qui me concerne des douleurs), des soins, des solutions mais la patiente reste maîtresse à bord. Elle choisit la ou les voies proposées et avance à son rythme. Tout se passe par des échanges verbaux qui permettent à Mme Quéval d’affiner les propositions. Retour dans l’instant présent, un peu étourdissant mais pari gagné. En ce qui me concerne, j’ai pu dénouer avec mes mains en le mimant, un noeud coincé dans l’épaule droite depuis… plus de 20 ans. Très surprenant de constater l’effet guérison après avoir essayé tellement de méthodes ! Notre cerveau est donc le plus fort, s’il fallait encore le prouver, c’est fait ! A tenter ! » Céline

 

Image par silviarita de Pixabay