Un accompagnement dédié aux femmes à responsabilités qui ne veulent plus s’épuiser.
Vous êtes peut-être cette femme que je reçois régulièrement en séance. Dirigeante, cadre, entrepreneure… Vous assumez un métier à responsabilité, vous gérez des équipes, des projets, des décisions. Vos journées sont pleines, parfois jusqu’au débordement. Vous avancez, vous tenez le cap.
Mais à quel prix ?
En arrière-plan, il y a souvent cette charge invisible : devoir tout prévoir, tout organiser, tout porter — au travail comme à la maison. Même quand vous vous arrêtez, une partie de vous reste connectée à ce qu’il reste à faire. Le mental ne se met jamais vraiment en pause.
Et vous ne vous autorisez pas toujours à lâcher prise. Parce qu’on compte sur vous. Parce que vous avez appris à tenir. Parce qu’il faut que ça fonctionne.
Alors, petit à petit, la tension s’installe. Le sommeil se dérègle, le corps se crispe, les émotions débordent… et pourtant, à l’extérieur, tout semble sous contrôle.
Ce que vous vivez, c’est ce qu’on appelle la charge mentale.
Et quand elle se mêle à la surcharge cognitive, à la fatigue et au manque d’espace pour soi, elle peut finir par vous couper du plaisir, de l’élan… de vous-même.
Une société qui change, mais des automatismes qui persistent
Depuis plusieurs années, la répartition des rôles familiaux évolue. Les partenaires et conjoints s’impliquent davantage, la parentalité se partage, les consciences s’ouvrent. Et pourtant, dans les faits, de nombreuses femmes que j’accompagne continuent de porter la gestion invisible du quotidien — même lorsqu’elles occupent un métier à haute responsabilité.
Il ne s’agit pas ici de pointer du doigt, mais de reconnaître ce qui se joue en silence.
Penser au rendez-vous chez le pédiatre, prévoir les repas, gérer l’agenda familial, anticiper les vacances, repérer les oublis… Ces tâches saturent l’espace mental.
Et lorsqu’elles s’ajoutent à une fonction professionnelle exigeante, à une charge de travail importante, à des enjeux managériaux ou stratégiques, le cumul devient lourd à porter.
Le corps est tendu, l’esprit éparpillé. Et malgré cela, on continue de tenir, parce qu’on ne se voit pas faire autrement.
Ce que la charge mentale vous coûte (vraiment)
Quand je parle de charge mentale avec les femmes que j’accompagne, les mots viennent souvent avec retenue. Ce n’est pas toujours facile de nommer ce qu’on ressent… mais les signaux, eux, sont bien là :
- Une fatigue persistante, même après une nuit de sommeil.
- Un mental en boucle, sans pause possible.
- Des tensions dans le corps qui s’installent sans raison apparente.
- Des émotions plus vives, plus difficiles à canaliser.
- Et parfois, une perte de plaisir : tout devient une tâche, même ce qui vous faisait du bien.
Ce n’est pas un burn-out. Ce n’est pas spectaculaire. C’est une usure en douceur, presque invisible.
Et parce que vous êtes compétente, investie, solide — on ne s’en rend pas compte. Pas tout de suite.
Mais en continuant à fonctionner comme si de rien n’était, vous vous éloignez de vous-même.
Et c’est là que la charge mentale devient un vrai risque : celui d’un épuisement qui ne dit pas son nom.
La sophrologie, un espace pour déposer ce que vous portez
Il n’existe pas de solution miracle à la charge mentale. Mais il existe des espaces pour souffler, se recentrer, reprendre contact avec soi. La sophrologie en fait partie.
Ce n’est ni une performance, ni une injonction à aller mieux.
C’est une méthode douce, pragmatique et respectueuse de votre rythme. Elle vous aide à ralentir sans culpabiliser, à écouter ce que votre corps vous dit, à retrouver votre axe intérieur, même au cœur d’un quotidien exigeant.
Concrètement, les séances mêlent :
- des exercices de respiration pour apaiser le mental et réguler le système nerveux,
- des mouvements corporels doux pour relâcher les tensions et ramener de la vitalité,
- des visualisations guidées pour retrouver clarté, confiance et sensations de sécurité.
Ce temps que vous vous offrez est un appui, pas une fuite.
Un endroit où poser ce qui pèse, sans avoir à l’expliquer. Où recharger vos ressources. Où vous retrouver, sans pression.
Ce que vous pouvez retrouver grâce à la sophrologie et à l'hypnose
Ce que j’observe chez les femmes que j’accompagne, c’est une évolution progressive, mais réelle.
Pas une transformation spectaculaire. Plutôt une reconquête. En douceur. En profondeur.
Séance après séance, vous pouvez :
- retrouver un sommeil réparateur, et sentir la fatigue s’alléger,
- apprendre à décoder vos signaux internes avant de basculer dans le trop-plein,
- clarifier vos priorités sans culpabilité,
- poser vos limites avec calme et assurance,
- reprendre plaisir à ce que vous faites — même dans les gestes les plus simples.
Certaines femmes me disent qu’elles recommencent à savourer un trajet à pied, une conversation sans tension, un moment de silence.
Pas parce que leur vie a changé.
Mais parce qu’elles ont réinvesti leur présence, là où elles avaient disparu.
Et elles ne sont pas seules :
👉 72 % des femmes cadres déclarent ressentir une surcharge mentale, selon une étude menée par Cadreo.
Chez celles qui ont des enfants, ce chiffre grimpe encore.
Cela ne veut pas dire qu’il faut tout arrêter.
Mais peut-être commencer à faire autrement.
La sophrologie n’efface pas les responsabilités.
Elle vous aide à retrouver l’espace intérieur pour les porter avec plus d’équilibre.
Trois techniques pour commencer à alléger votre charge mentale
Avant même de franchir la porte d’un cabinet, il est possible de commencer à créer de l’espace pour soi. Voici trois techniques simples, issues de la sophrologie, que vous pouvez tester dès aujourd’hui — chez vous, au bureau, ou entre deux réunions.
1. Respiration 4-2-6 : calmer le mental en quelques instants
Inspirez par le nez pendant 4 secondes, retenez l’air 2 secondes, puis expirez lentement par la bouche sur 6 secondes.
Répétez ce cycle 3 à 5 fois. Ce rythme aide à ralentir l’activité du système nerveux, à redescendre en pression et à revenir à vous.
2. L’ancrage par les appuis : revenir ici et maintenant
Assise ou debout, portez attention à vos pieds en contact avec le sol.
Sentez la stabilité, le poids, le lien avec le sol.
Quelques secondes suffisent pour réduire la dispersion mentale et retrouver un axe intérieur.
3. Le rituel du soir : vous remettre au centre
Avant de vous coucher, prenez une minute pour respirer calmement et vous poser cette question :
👉 Qu’est-ce que j’ai fait pour moi aujourd’hui ?
Il n’y a pas de bonne réponse. Juste l’intention de vous remettre en priorité, un peu chaque jour.
Conclusion : Et si vous faisiez une place à votre propre équilibre ?
Vous êtes engagée, compétente, présente pour les autres.
Mais cela ne veut pas dire que vous devez tout porter, tout le temps, sans relâche.
Il est possible de rester actrice de votre vie sans vous épuiser.
De continuer à inspirer, à gérer, à décider — en vous respectant profondément.
La sophrologie n’impose rien.
Elle vous propose un espace pour souffler, déposer, réajuster.
Un cadre dans lequel vous pouvez retrouver votre souffle, votre axe, votre plaisir.
🧭 Si vous sentez que le moment est venu de penser aussi à vous, je vous accueille à Montgeron ou en visio, selon ce qui vous convient.
Un premier rendez-vous, simple, sans engagement, peut être le début d’un nouveau souffle.